Ayant lieu chaque année dans la capitale de l’Allemagne, le Porn Film Festival ne cesse de surprendre son public. Pour sa dixième édition, elle s’intéresse particulièrement au fétichisme des confettis. Que la fête commence !
Un événement qui se veut défenseur du porno avant-gardiste. Tel serait l’ambition du « Festival du film porno de Berlin ». Ce festival qui en est actuellement à sa 10e édition semble tenir son pari. Présent parmi les organisateurs, Claus Matthes revient sur le principe fondamental : « Un jour on a montré un film sur la zoophilie avec des chevaux. Certaines personnes étaient décontenancées, elles n’ont pas compris pourquoi nous montrions de tels films. Mais chaque sorte de sexualité mérite qu’on s’y intéresse ».
Au fil du temps, est apparue en effet une mentalité comme quoi seules les pratiques à caractère hétérosexuel et sexiste seraient les seules formes de pratique appropriées à la pornographie. Cette attitude résulterait de l’influence du porno mainstream. Loin d’être provocateur, le Festival du film porno de Berlin dévoile donc la pornographie sous divers aspects.
Les organisateurs exposent ainsi le confetti vu sous un angle fétichiste. Une approche qui se concrétisera entre autres par la projection d’un film traitant de cette forme de pratique.
Les visiteurs découvriront d’ailleurs des pratiques autres que la zoophilie et le fétichisme des confettis notamment à travers plusieurs films proposés au programme. Citons en exemple « Duke of Burgundy », un drame réalisé par Peter Strickland, dans lequel il est question de rapport lesbien et de sadomasochisme.
La 10e édition du Porn Film Festival comptera également parmi ses thèmes les plus intéressants celui de la sexualité et du handicap. Signalons enfin que les visiteurs auront l’occasion de s’initier à des pratiques inhabituelles (vaginal fisting, bondage japonais, éjaculation féminine…) et ce à travers plusieurs séances d’atelier.
Depuis le lancement du festival, les organisateurs semblent d’ailleurs satisfaits de leur initiative : « Nous sommes parvenus à créer un espace protégé à l’intérieur duquel la parole est libre, où l’on a le droit de poser une question stupide sur le sexe ou d’essayer quelque chose de nouveau, du moins en imagination », rappelle Manuela Kay.
Fatal error: Uncaught Error: Call to undefined function wp_related_posts() in /home/lapoupeegonflable/www/wp-content/themes/lapoupeegonflable/loop-single.php:20
Stack trace:
#0 /home/lapoupeegonflable/www/wp-includes/template.php(564): require()
#1 /home/lapoupeegonflable/www/wp-includes/template.php(521): load_template('/home/lapoupeeg...', false)
#2 /home/lapoupeegonflable/www/wp-includes/general-template.php(171): locate_template(Array, true, false)
#3 /home/lapoupeegonflable/www/wp-content/themes/lapoupeegonflable/single.php(12): get_template_part('loop', 'single')
#4 /home/lapoupeegonflable/www/wp-includes/template-loader.php(89): include('/home/lapoupeeg...')
#5 /home/lapoupeegonflable/www/wp-blog-header.php(16): require_once('/home/lapoupeeg...')
#6 /home/lapoupeegonflable/www/index.php(17): require('/home/lapoupeeg...')
#7 {main}
thrown in /home/lapoupeegonflable/www/wp-content/themes/lapoupeegonflable/loop-single.php on line 20